octobre 2003

Posté le 31 octobre 2003

31 10 3

Hier soir concert des Juanitos au Passeport du Cochon Vert.

Chouette concert ! Pas mal de gens dansaient.

Barbara m’a dit qu’elle avait interviewé Alizée par téléphone. Elle ne lui a pas demandé si elle était vierge.

Il y avait Bruno de Cortex, qui organisait le concert, Alain Fefeu et sa compagne Gaëlle, venue avec sa sœur jumelle.

Il y avait aussi Guillaume du Little Café, Crap et une bonne partie des habitués du Lézard : Manue, Vince, Chicho, Jeff, Yohann, Julien, Pénag…

Nicolas de Cortex (sans sa copine russ-meyeresque), Fifi, toute cette bande…

J’ai dansé avec Barbara, et avec la compagne de Stéphane du PCV.

Je ne suis pas John Travolta.

J’ai fais connaissance avec une Maud, à qui j’ai filé ma dernière cassette.

J’ai aussi filé mon cd au chanteur des Juanitos.

Gaëlle, elle, m’a filé une invitation pour l’inauguration de la fondation Expert Club :

« L’Expert Club International s’engage à poursuivre à son domicile toute personne ne se présentant pas à l’invitation  ».

En rentrant chez moi je me suis aperçu que j’avais perdu mon écharpe grise.

30 10 3

Chevreuil jouait hier soir au Corsaire.

C’était impressionnant au début, mais ça perd à la longue.

Il y avait Bruno de Cortex et sa compagne, Alexis Dulac, Chloé Malen, Marine Planté, Fram (qui se remet de sa rupture), Mitch (qui s’est blessé au crâne avec un tabouret), et des gens que je ne connaissais pas.

Après Alex, Chloé, Fram et moi sommes allés au Lézard, où j’ai retrouvé Barbara Guicheteau et Cécile Véron.

J’ai filé l’invit pour les Juanitos à Barbara.

J’ai essayé de faire admettre à Alex que les airs de mes chansons étaient plus importants que les paroles.

J’ai parlé un peu avec Delphine Duchemin, qui a interviewé la chanteuse des Yeah Yeah Yeahs. Elle est ultra-timide hors de scène, et préfère être interviewée par des filles.

Il y avait aussi Julie du Little Café, à qui j’ai filé ma dernière cassette.

29 10 3

Bruno, de Cortex, m’a filé deux invits pour le concert des Juanitos.

27 10 3

Souviens-toi du vase de Soissons.

Nouvelle chanson : « Que deviennent ?  ».

J’ai mes billets de trains pour Belfort.

J’ai enfin réussi à trouver un sweat tout simple.

Pendant qu’on parle vêtement, les strings, ça fait pas un peu puta des cabanes ?

26 10 3

-Je l’achèterai pas ton disque, la première fois que je t’ai vu, t’as dis « Je suis Jean-Luc Le ténia !  », c’est comme ça que tu t’es présenté, branleur ! Et ce que tu fais, tout le monde peut le faire, trois accords, c’est de la merde !

J’ai enfin réussi à faire marcher mon graveur.

Nous sommes allés au Nez Rouge hier soir pour les soixante ans de ma mère.

J’y ai décortiqué des langoustines à mains nues.

Deux nouvelles chansons : « Les produits en croix  », « Quel phénomène !  », et un instru : « Elle entretient un écrivain  ».

25 10 3

Je voudrais pas dire, mais il y a des filles qui ne se prennent pas pour de la merde.

24 10 3

Hier soir repas chez Karim Zadi et Magali Trudelle, avec José et son Malibu-ananas.

On a embêté Magali pour qu’elle nous montre les photos de ses copines célibataires.

Alexis Dulac m’a copié : « Getting Any  » de Takeshi Kitano et : « Julien Donkey boy  » de Harmony Korine.

Je suis en train d’écouter: “Hitting the ground” de Gordon Gano qui est un bon album de featuring (c’est rare).

Vive les intellectuels dissidents !

Cdmail est ok pour distribuer mon disque : cdmail.free.fr

J’ai enregistré une reprise de Didier Chappedelaine : « Je rêve de toi  ».

23 10 3

« What would the community think  » de Cat Power, « Guess who’s back  » de 50 Cent et un vieil album de Polnareff avec plein de chansons que je ne connaissais pas (pas chers à la Fnac ce matin).

22 10 3

On dirait qu’il y a des codes secrets dans ce journal.

J’aime bien Isild Le Besco.

21 10 3

Vous êtes-vous déjà demandés à quoi je pensais quand vous me parliez ?

Aujourd’hui d’occasion : « Clefs pour la linguistique  » de Georges Mounin, et : « Les fleurs bleues  » de Raymond Queneau.

20 10 3

Comment le dire… heu…

Je m’ennuie à vos soirées, tout comme je me dessèche aux repas de famille.

Voilà c’est dit.

19 10 3

Repas hier soir chez Anthony Beaufils et Sandrine Floquard.

Ils étaient habillés classe et sexy.

Il y avait Mamoud, Anne Georgelin, Kévin Lethomas, Guillaume Touchard, Estelle, Paul Serpaggi, Séverine Piquet et Bruno.

Sandrine avait cuisiné un pain de poisson (la partie rose en était la meilleure), et Anthony des endives au jambon et à la bechamel.

Après je suis allé au Lézard, pour retrouver Barbara, Marie Brillard et Cécile Véron, qui étaient habillées classe mais pas spécialement sexy.

17 10 3

« Manager est l’art de faire que les autres fassent ce qu’ils ne feraient pas si tu n’étais pas là.  »

Gérard Layole

16 10 3

Hier soir j’ai bu un apéritif au Saint-Flaceau avec Laëtitia Bontan, avant d’aller manger à La Rose d’Ispahan.

Nous avons parlé bibliothéconomie.

J’ai reçu un mail d’Ignatus m’annonçant la naissance de Mireille.

Je suis allé ce soir à l’inauguration du nouveau Lézard : ils ont changé le mobilier et rajouté un bar à rhum.

Sandy m’a ensuite invité à manger une pizza chez elle.

14 10 3

Angoisse sur ma mort cette nuit.

Quelques bonnes envolées dans : « Scala on the Rocks  ».

J’ai acheté les : « Fables  » de Jean de La Fontaine.

13 10 3

Lundi-cinéma avec Barbara.

Nous sommes allés voir : « Errance  », de Damien Odoul.

Moi j’ai trouvé ça pas mal, Barbara a détesté.

12 10 3

Vive Iga Biva.

Trois nouvelles chansons : «Personne n’a besoin de moi» (super pour danser le mambo), «Qu’est-ce tu vas dev’nir sans ta maman ?» et : «Réservé aux intellectuels».

Je voudrais institutionnaliser la : «semaine de création intense».

Il s’agirait d’une semaine où chaque artiste resterait chez lui, ne répondant à aucun appel, et s’obligerait à créer. Il ferait ses courses juste avant. Les seules fois où il sortirait de chez lui seraient aux heures où les rues de son quartier sont désertes, pour s’aérer l’esprit.

S’il a un travail, il pose une semaine de congé.

Je propose la semaine autour de la Saint-Valentin.

11 10 3

Avec ma p’tite flasque de whisky, plom, plom, plom…

MOMENT TRES CINEMATOGRAPHIQUE :

Quand le héros trouve les renseignements qu’il voulait sur une personne, parmi une tonne de fichiers difficiles d’accès.

10 10 3

D’occas’ acheté : « Avenue B  » d’Iggy Pop.

8 10 3

J’ai reçu le gratuit « Nouvelle Vague  », contenant mon interview et celle des Wampas.

On peut écouter ma chanson : « L’Ame du Mans  » sur le site de Tony Papin http://penicillin.free.fr

J’aimerais que les gens s’échangent mes cassettes comme des images Panini.

7 10 3

La maison d’édition : « égo comme x  » veut me faire jouer pour ses dix ans, au festival de bandes dessinées d’Angoulême.

6 10 3

Barbara Guicheteau et Mathieu Champs sont venus en fin d’après-midi, visionner la vidéo de mon passage à Canal + .

5 10 3

J’étais invité hier au mariage religieux de Delphine et Emmanuel Robert.

J’ai repassé mon vieux costume jaune-moutarde et vert-émeraude, noué ma vieille cravate bariolée et ciré mes chaussures des grandes occasions.

Gildas Morinais et Karen Moinssongner sont arrivés chez moi. On était classe.

La cérémonie avait lieu dans l’Eglise Saint-Bertrand.

J’ai eu le plaisir de retrouver une vieille connaissance et ex d’Emmanuel : Christine Pau, toujours aussi pétulante.

Bonjour aux mariés, nous nous sommes assis tous les quatre sur un des bancs.

Delphine avait un pardessus en cygne véritable.

La cérémonie a commencé.

Les mariés, membres plus ou moins actifs du renouveau charismatique, avaient voulu un mariage dynamique…

Nous avons donc eu droit à un accompagnement à la guitare électrique et acoustique, et à une sœur excloitrée digne de Patrick Bouchitey.

Nous avons pu voir une danseuse au regard allumé faire des vagues devant l’hôtel.

Le clou du spectacle étant l’interruption éclatante de l’échange des vœux, par un travailleur en colère, qui est entré brusquement en gueulant : « J’EN AI RIEN A FAIRE DE VOTRE CEREMONIE ! VOUS ME DEGAGEZ TOUT DE SUITE LA VOITURE QUI BLOQUE LE PASSAGE DANS LA RUE ! OH, VOUS POUVEZ ME PRENDRE EN PHOTO JE M’EN FOUS ! DEGAGEZ LA C’EST INADMISSIBLE !  ».

Pendant que le mec criait le prêtre continuait à bénir le couple, sous les rires à peine dissimulés de l’assemblée.

Puis ils furent mariés.

Je suis retourné chez moi avec Karen et Gildas, boire un petit coup de whisky avant d’aller prendre le pot d’honneur qui avait lieu dans l’école Saint-Joseph.

De nouveau chez moi, boire un thé ce coup-ci, en attendant l’heure d’aller au gîte.

Sur la route de Rouez-en-Champagne, Karen nous a rapporté une rumeur hospitalière qui a changé ma vision des homards.

Nous étions assis à la table des mariés. Christine était avec nous et à la gauche d’Emmanuel.

A notre table il y avait aussi un des guitaristes de la messe, qui écarquillait les yeux à chaque fois que je lui apprenais un nouveau détail sur mes concerts.

Une psychologue suisse célibataire avait été stratégiquement placée à mes côtés.

Je l’ai faite beaucoup rire, jusqu’à ce qu’elle décide d’échanger sa place avec celle de son autre voisin.

Le dîner était entrecoupé de sketchs parfois musicaux montés par des amis de Delphine ou par les trois frères d’Emmanuel. Ces derniers se débrouillaient plutôt bien dans le genre, le scoutisme ça forme.

Les jeunes serveuses qui passaient et repassaient me plaisaient bien.

La psychologue suisse a fini par regagner sa place à mes côtés, mais je n’osais plus lui parler.

Le gâteau est arrivé. A l’inverse du reste du repas, j’ai eu du mal à l’avaler.

L’heure de la danse étant venue, j’ai pris Gildas, Karen et Christine par le colback pour retourner au Mans.

Christine m’a ramené.

Elle sort avec un fou du sport.

4 10 3

Les bonus du dvd de : « 8 Mile  » sont supers !

3 10 3

CANAL +

J’ai trouvé hier sans trop de mal les studios SFP, pour participer à l’enregistrement de : « 20h10 pétantes  ».

Caroline Carayon m’a présenté à ceux qui devaient me guider, comme Simon qui m’a installé dans une loge provisoire.

Puis j’ai été manger au self. A ma table sont venus s’asseoir trois personne de la troupe de comédiens qui font des sketchs enregistrés ou live sur le plateau : Manu, Eric et une des filles qui jouent avec eux. Manu et Eric ont tout de suite cherché à parler avec moi, me demandant notamment mon avis sur la manière dont ils étaient présentés à l’écran. Je leur ai répondu que justement j’étais en train de me dire qu’on se souvenait de leurs têtes mais pas de leurs noms, qu’il faudrait peut-être qu’ils aient un nom de troupe.

Je leur ai dit que c’était ma première télé nationale.

Après mon poulet-pâtes, une assistante très communicative m’a dit d’aller me faire maquiller.

Je me suis retrouvé assis sur un fauteuil de coiffeur à côté de Muriel Cousin.

La maquilleuse brune qui s’occupait de moi à réclamé plus de lumières, et Muriel Cousin m’a dit : « c’est parce qu’il y a beaucoup de travail à faire sur toi !  ».

Caroline m’a demandé de mettre plutôt mes affaires dans la loge de Stéphane Guillon, pour libérer l’autre.

Puis je suis allé sur le plateau, pour faire une balance.

Les techniciens ont scotché un micro sur ma guitare, relié à un petit appareil accroché à ma ceinture, qui ne tenait pas bien (j’avais peur qu’il me lâche sur le plateau !).

La balance s’est bien passée, ce qui m’a en partie rassuré.

Eric m’a conseillé de prendre mon temps pour mon entrée sur scène.

J’avais un petit cube en bois pour poser mon pied. L’assistante a demandé à ce qu’on en fasse un blanc comme le sol.

J’ai fais un petit tour du plateau, et j’ai croisé un homme assis avec un gros cigare.

Je me suis assis avec d’autres gens derrière les paravents, pour regarder un des téléviseurs sur lesquels était retransmis ce qui se passait sur le plateau.

Ils ont fait rentrer le public, qui a apprit à applaudir grâce au chauffeur de salle.

Stéphane Bern est rentré dans le studio, suivit d’une caméra et de quelques personnes.

Il est allé sur le plateau, se faire maquiller sur son siège.

Puis Bernard Montiel, l’invité principal, est arrivé lui aussi sur le plateau, suivi de Muriel Cousin.

Ariel Wizman enfin est entré dans le studio, il avait l’air un peu embêté, il devait se concentrer.

Il s’est rapproché de moi en chantant : « le petit bonhomme en mousse  » avec une voix de crooner.

Il ne m’a pas reconnu alors je me suis présenté.

On a discuté un petit peu. Il m’a dit que ses chanson préférées sur mon disque étaient : « Laurent Boyer  », « Contre le cannabis  » et « Les Jean-Lucs  ». Il m’a demandé si les mots en « rge  » ne me posait pas problème, et s’est mis à m’en énumérer : « gorge, berge, large…  ». J’ai rajouté : « hors-jeu  » après lui avoir répondu que c’était effectivement un peu obscène.

Il m’a aussi demandé si ça allait le faire. Je lui ai répondu : « bah oui, de toute façon j’ai pas le choix !  ».

Puis l’enregistrement de l’émission a commencé.

Je savais que je passais vingt minutes environ après le début, mais j’avais toujours l’impression que ça allait être à moi.

J’ai commencé à avoir une crampe au troisième orteil du pied gauche, qui ne m’a pas lâché durant cinq bonnes minutes, malgré mes élongations.

Je me concentrais sur ma respiration.

Puis on m’a remis le bidule à la ceinture, j’ai pris ma guitare et on m’a amené près de la brèche qui servait d’entrée.

Ariel Wizman m’a présenté : «Et maintenant un chanteur catholique….  »

Stéphane Bern : « Un chanteur cathodique, vous voulez dire ?  »

Ariel Wizman: « oui… un chanteur catholique et cathodique, à en croire la chanson qu’il va nous interpréter ce soir…je vous demande d’accueillir JEAN-LUC LE TENIA !  »

Je rentre tranquillement sous les applaudissements, fais une petite révérence comme m’avait appris ma mère (pour aller chercher mon premier diplôme de solfège), remercie et commence ma chanson.

« Laurent Boyer met du mascara, ouh, ouh, ah…  »

Je ne savais pas si je devais regarder le public, les présentateurs, ou les caméras (celle du prompteur pour regarder la téléspectatrice dans les yeux, j’espère que ça a marché…).

« Et moi je mange du tarama, ouh, ouh, ah…  »

Les gens applaudissaient en rythme, Ariel Wizman avait l’air particulièrement content.

Je n’ai pas fait durer la chanson car on m’avait demandé d’être court.

Ariel est venu me rejoindre pour me présenter une dernière fois, puis je suis sorti du plateau, après avoir remercié de nouveau et fait un petit signe de la main timide pour dire : « au-revoir  ». Geste qu’on ne verra probablement pas à l’écran puisque les présentateurs ont repris leur discussion en même temps.

J’ai regagné mon siège, d- merde, ça passe ce soir !

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Après plusieurs re visionnages de la séquence, je suis formel : on voit bien mon petit au-revoir de la main !

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J’ai regagné mon siège, donc, et j’ai continué à regarder l’émission.

Deux femmes m’ont demandé si ce n’était pas Ariel Wizman qui avait écrit mes paroles. Je leur ai répondu que c’était bien moi, mais qu’il aurait pu les écrire et que c’était peut-être pour cela qu’il appréciait.

Après l’émission, je suis retourné dans la loge où Stéphane Guillon s’entraînait à lire son texte pour la prochaine émission (ils en enregistraient trois dans l’après-midi).

Je suis parti me démaquiller, puis suis retourné dans la loge consulter mon portable.

Là Stéphane Guillon est sorti.

J’avais l’impression de déranger, alors je suis parti.

Ariel Wizman m’a téléphoné alors que j’étais encore dans la rue du studio.

Je ne l’ai pas reconnu tout de suite. Il aurait bien aimé boire un coup avec moi, mais là il devait retourner sur le plateau.

J’ai pris le métro rejoindre Jérome « Ignatus  » Rousseau et Valentine Hébert chez eux.

On a pris le thé et mangé des patisseries.

Pendant que Jérome était parti chercher une voiture (ou un solex, je ne sais plus), et Valentine les enfants, j’ai joué de l’orgue à soufflerie.

Valentine est sur le point d’accoucher !

Malgré la crainte de Jérome que sa compagne accouche sur le champ, il s’est rendu avec moi à l’inauguration des nouveaux locaux de Radio Néo. Ils avaient invité plein de chanteurs à venir jouer une chanson et donner une petite interview.

J’ai chanté : « Si tu me quittais des yeux  », et Jérome une de ses nouvelles compositions : « Les petits chiens  ».

Puis nous avons été boire un verre de vin rouge en mangeant des cacahuètes (avec un cheveu pour moi), dans la petite cour.

J’ai discuté un peu avec des animateurs de Radio Néo, apparemment ils passent « Les chaussettes de bébé  » tous les matins.

La fatigue et la peur de rater le dernier train m’ont conduit à la gare Montparnasse.

Sophie Delafontaine m’a invité à prendre le thé après le boulot aujourd’hui.

Sinon mon distributeur belge, Bang, est toujours vivant.

2 10 3

Hier soir j’ai été voir les Wampas à Laval, devant un public de mayennais étonnement calme.

Didier avait besoin d’une fille pour lui faire sa crête, et m’a désigné pour la lui trouver.

La fille que j’ai interpellée au hasard, Angélique, s’est avérée être une vraie coiffeuse.

Didier m’a donné le nouveau single-test : « Je t’ai donné ma vie  ».

Ce matin je vais à Paris pour enregistrer mon passage dans « 20h10 pétantes  », qui sera diffusé la semaine prochaine.

1 10 3

Ariel Wizman vient de m’appeler.

Si tout va bien je passe sur Canal + demain.


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