novembre 2003
Posté le 30 novembre 2003
30 11 3
« Psycho » des Sonics, ça claque la chatte !
29 11 3
Les bordeaux rouges de 1998 ça claque la chatte.
Nouvelle chanson : « Le courant ne passe pas ».
28 11 3
Ahhh, la linguistique !
D’occasion trouvé la vidéo live : « The up in smoke tour », avec Dr Dre, Snoop Dog, Eminem et Ice Cube.
27 11 3
Il n’y avait pas de guitare, entre moi et Chan, dans mon rêve de cette nuit.
26 11 3
Frédéric Fleury m’a dessiné dans le site de l’employé du moi.
25 11 3
Pendant que je m’occupe des problèmes techniques de ma bagnole je pense pas à autre chose, et je dépense pas mon fric dans ces conneries de cd !
24 11 3
« Quand le serpent vieillit, la grenouille l’encule. »
Marjane Satrapi
23 11 3
Je fais plein de beaux rêves en ce moment, avec des filles et de superbes paysages.
Il y avait toute la bande habituelle des amis de Sandy Loyan-Raison pour son anniversaire : Audrey et son bébé Corentin, son compagnon Laurent, Samantha, Julien, Slush et une nouvelle Sabrina, Jeff et Rachel, Vince, sa sœur Manue, Mitch en coup de vent (qui m’a fait goûter l’excellente vodka-figue), Olivier Gay et Elodie Caignart (avec qui j’ai dansé mon espèce de rock acrobatique), l’autre Sabrina collée à Ben, etc…etc…
Il y avait surtout Oriane Pichon, la cousine de Sandy, avec qui j’ai discuté toute la soirée.
Elle a un cheval qui s’appelle Jaloux.
Je me suis levé tôt ce matin.
Aaah, le bonheur de prendre un bain en écoutant Buddy Holly !
Nouvelle chanson, à la guitare électrique : « La reconnaissance du ventre ».
22 11 3
J’ai reçu : « Médaille » de Ronald Grandpey, « Louise » et : « Sauben Saubeln » d’Anne-Charlotte Gauthier (de la bonne bande-dessinée underground).
Ce soir, je suis enrhumé, et je vais quand même à l’anniversaire de Sandy.
21 11 3
J’ai rêvé que je faisais un duo avec Chan Marshall.
20 11 3
Le film de Snoop Dogg est une grosse daube.
18 11 3
J’ai acheté : « Cuckooland » de Robert Wyatt.
17 11 3
Gérard Séguin est venu me chercher vendredi à la gare de Belfort.
La salle de La Poudrière est située juste en dessous du Lion de Belfort.
J’ai été présenté à toute l’équipe, fort sympathique : Loïc, Alex, Victoire, Elise, Nono…
J’ai fais une petite balance pendant que Maël et Aldebert commençaient à manger.
Puis les gens sont rentrés.
J’ai ouvert la soirée avec cinq chansons plutôt calmes.
Le concert de Maël était bien.
Celui d’Aldebert ressemblait à du Dany Brillant.
Les trois quarts du public sont partis juste après ce concert, mais le quart qui restait était vraiment pour moi.
Alors j’ai joué pendant trois quarts d’heure, dans une chaude ambiance.
Une journaliste est monté me faire un bisou sur : « Je t’embrasse ».
J’ai dormi au Relais d’Alsace.
Samedi j’y ai pris le petit déjeuner à midi, en discutant politique avec le patron de l’hôtel.
Victoire et Elise sont venues me chercher pour m’emmener déjeuner à La Gazelle d’Or, un excellent restaurant marocain.
Victoire nous a raconté qu’elle s’était coincée un raisin sec dans la narine étant petite, et qu’elle n’en avait plus mangé depuis. Comme il y avait des raisins sec dans le porc aux tomates caramélisées, je lui ai dit que c’était le moment de surmonter son traumatisme. Elle a mangé deux raisins, tout s’est bien passé.
Elise aime beaucoup les films de Cronenberg.
Elle m’a fait la visite guidée du Lion et des alentours du Fort, avec en final la vision panoramique de la ville.
En redescendant dans la vieille ville, plutôt jolie, j’ai trouvé une écharpe kaki-claire, pendue au cou d’un Don Quichotte de métal.
Olivia Ruiz, ancienne chanteuse de la Star Academy et première partie imposée d’Hawksley Workman, est arrivée.
Elle a tenu à discuter un peu avec moi, mais a vite compris que je n’allais pas aimer son concert.
Je lui ai demandé si c’était elle qui avait écrit les paroles et la musique de ses chansons.
Elle m’a répondu que non, qu’il avait fallu qu’elle enregistre son album dans le speed.
Victoire m’a fait un massage de la nuque pour me détendre.
Sandrine Salvi m’a interviewé dans un bar, pour le site m-la-music.net.
Je lui ai expliquée que la chanson française était morte, et que mon cd en était la preuve.
Cindy d’Europe 2 Belfort est venue nous rejoindre, mais il fallait que j’aille manger à La Poudrière.
Gérard m’a informé que des journalistes de Rolling Stone étaient présents ce soir.
Olivia Ruiz a joué la première, de la Chanson Française, entrecoupée de morceaux voulus rocks. Elle n’avait aucune présence scénique, pas de charisme, pas de voix, rien. C’était tellement vide que ça en était flippant.
Dans les coulisses, après son concert :
Olivia (accent du sud) : Ca va, ça t’a pas trop fait chier ?
Moi (regard mort du requin) : Moyen.
Olivia : Je t’avais prévenu !
Puis j’ai joué pendant quarante minutes.
Juste avant la fin de mon set, j’ai lancé: « Trois chansons pour convaincre Rolling Stone ».
Ensuite, Hawksley Workman : de la bonne grosse merde formatée FM, avec un chanteur qui se la pète. Il paraît qu’il était mieux avant.
Je n’ai pas pu m’empêcher de beugler : « We don’t need another hero… », le célèbre refrain de Mad Max 3, pendant un silence au milieu d’une de ses chansons.
J’ai raconté ma vie à la journaliste qui m’avait fait un bisou sur scène la veille.
Un mec m’a dit que Led Zepp’ était un groupe monté.
Longue after au comptoir.
Hawksley a tenté d’escalader la pente qui menait au Lion, défoncé.
Je lui ai coupé une tranche de Comté pour qu’il se remette de ses émotions.
Après plusieurs demandes de l’équipe de La Poudrière, je me suis laissé convaincre de jouer quelques morceaux.
J’ai improvisé une chanson sur une discussion qu’on venait d’avoir (l’emplacement du trou du cul des serpents). J’y déclarais que Rolling Stone était le journal le plus tiède de la presse rock’n’roll française; le journaliste était présent.
Je me suis fais violence pour retourner à l’hôtel, à six heures du matin, mais j’avais peur de louper mon train.
Frédéric Briche m’a appelé cette après-midi, pour me demander si je voulais bien enregistrer une chanson, pour un court métrage qu’il s’est amusé à tourner avec ses amis facteurs.
J’ai acheté trois vidéos d’occasion : « Slackers », « Henry, portrait d’un serial killer » et « Doggy style », la chaude soirée de Snoop Dogg.
14 11 3
Cette nuit j’ai rêvé de Chloé Delaume, de la cave de la maison de mon enfance, d’établi, que Chloé me fuyait parce que j’étais trop insistant, qu’elle se tirait avec le chat de la famille, le chat s’appelait Blancassé.
Tout seul dans la rue, je me suis rendu compte que je pouvais me rendre invisible à volonté et voler comme un fantôme.
Alors je rentrais par les lucarnes d’où sortait de la musique, je secouais les armoires, et la seule fille que j’ai trouvé était moche.
Puis je me suis retrouvé sur une grande pelouse, mais je ne contrôlais plus bien le pouvoir d’invisibilité.
13 11 3
J’étais à 15h00 hier à la salle des Saulnières, pour faire ma balance et me faire interviewer par Canal 8.
Puis les Wampas sont arrivés, avec Peter Pan et Makhno du forum.
J’ai amené Didier, Makhno, Peter Pan et David « Spielberg » au centre-ville : Didier voulait se procurer des pétards et feux d’artifices.
Yann Lodos et son assistant de l’antenne locale de France 3 nous ont rejoints à l’Arlequin, pour filmer Didier en train d’acheter tout ça, plus des boules puantes.
De retour aux Saulnières, Didier et moi avons été alternativement interviewés par France 3.
Les japonaises de Melt Banana sont arrivées.
Après avoir mangé de la pintade, les portes se sont ouvertes au public.
Beaucoup de gens que je connaissais étaient présents.
J’ai commencé mon premier passage à 20h30 pile, alors que tous les spectateurs n’étaient pas arrivés.
J’étais content d’avoir mon groupuscule de lycéens supporters au premier rang (Arthur Potel et compagnie). Il y avait aussi devant un groupe de très jeunes filles que je ne n’avais jamais remarquées, mais qui connaissaient mes paroles par cœur.
Je n’ai joué qu’un quart d’heure, et fini sur une version longue et appliquée de : « Un poutou ».
J’ai aussi joué : « Bertrand Cantat » pour la première fois depuis Vilnius (beaucoup d’applaudissements).
Etienne Charry était présent dans le public, avec ses deux enfants.
Puis les Melt Banana ont joué un punk énergique et haché, devant un public partagé.
Pendant ce temps Didier éclatait deux boules puantes dans leur loge.
Elles n’ont pas du tout apprécié, et se demandaient qui avait fait ça.
Je remonte une deuxième fois sur scène, pour jouer cinq chansons, devant plus de monde et d’ambiance ce coup-ci.
Ensuite un bon concert des Wampas, avec une version sans micro de : « Vie, mort et résurrection d’un papillon »., et un final imprévu sur : « Quelle joie le rock’n’roll », où un manceau de neuf ans a remplacé Didier au pied levé, avant de slammer comme les grands !
Les Melt Banana ne voulaient pas partir sans que Didier se soit excusé dans la tradition japonaise.
Elles ont exigés, très sérieuses et fâchées, que Didier se prosterne à genoux devant elles, le front collé au sol.
Didier, qui lui trouvait ça surréaliste et drôle, s’est exécuté.
Les Melt Banana l’ont pris en photo (mais interdisaient que David filme).
12 11 3
J’ai retrouvé mon ticket de pressing en retirant de l’argent.
Les articles du Maine et du Ouest-France sont parus.
Le Maine titre : « Narcissique sans doute, prétentieux sûrement pas », avec Aurore Buvron et Audrey Aisné dans mes bras sur la photo.
Dans le Ouest il y a l’interview de Didier Wampas par moi, une photo de nous deux réunis pour la première fois dans un journal, et un petit texte que j’ai écris à la demande de Jean-Noël Levavasseur : « Les Wampas, moi, Le Mans ».
Cindy d’Europe 2 Belfort m’a interviewé par téléphone.
Une des taches se voit encore un peu sur le pantalon, mais bon, il est mettable.
11 11 3
Si tu marches au Mans, tu marches partout.
10 11 3
La compilation : « New blood : the new rock’n’roll vol. 3 » est d’enfer !
Une Caroline de la radioVibration m’a fait une petite interview par téléphone.
René Guyomarc’h m’a interviewé au Lézard pour Le Maine.
9 11 3
Rip It, Steak From Delta, Arkanoïd et Le Projet Aléatoire jouaient hier soir à l’Iventaire, à la soirée Saturday Noïzzz Fever organisée par Alex.
J’ai bien aimé Steak From Delta.
Il y avait pas mal d’habitués du Lézard, dont Mitch qui est en photo dans le Nouvel Obs’ cette semaine.
Il y avait aussi Anne Georgelin, son frère, Kévin Lethomas et un pote à lui, qui sont partis au milieu du troisième concert. Pourtant je les avais prévenus que c’était une soirée noise !
« Les hommes ne tombent pas amoureux de femmes au cœur de pierre avec des visages de salope, c’est moi qui vous le dit… »
Catherine Zeta-Jones
Le froid ou le trac ? En tout cas j’ai la chiasse.
7 11 3
Je devrais jouer à La Flèche d’or de Paris en décembre ou janvier.
Hier soir, Delphine Gauthier est venue manger des pâtes au gruyère et à la dinde rapées par mes soins, grâce à une moulinette.
J’ai renversé du porto sur Soren Kierkegaard.
6 11 3
J’ai perdu le ticket du pressing.
La Fédération musicale des Pays de la Loire a demandé à Mathieu Champs de lui composer une pièce harmonique.
5 11 3
Alexis Dulac m’a invité au festival : « Saturday noïzzz fever », qu’il organise samedi soir à l’Inventaire.
4 11 3
Tu rigoleras moins quand ta copine demandera mon cd pour la Saint-Valentin.
3 11 3
J’ai acheté un nouveau pantalon et déposé le taché au pressing.
Je suis allé avec Barbara voir : « Anything else » de Woody Allen, au Ciné-Poche.
Johan était à la caisse.
Alexis Dulac faisait la projection.
J’ai bien aimé le film.
Puis je me suis invité à prendre le thé chez Barbara.
2 11 3
Hier soirée « Expert Club International », qui avait lieu chez Olivier Roboam et Virginie.
Il y avait la moitié des invités que je connaissais :
Alain Fefeu et Gaëlle, Philippe « P’tit Bill », Philippe le photographe, Jean-Guillaume Raguideau, Gwénaëlle, Brigitte qui m’a présentée Delphine fan des Wampas, Dimitri Lamoureux, Véronique « l’hybride », David Plou, Jérome des Klotz, Karine Lerouge, Claire et d’autres dont je ne me suis pas encore souvenu des noms.
J’ai rencontré pas mal de nouvelles personnes, un peu le but de cette soirée.
Tout le monde devait amener une bouteille et un truc à manger (moi ça a été du fromage, que d’ailleurs je n’ai pas vu de la soirée).
Gwen avait cuisiné des samoussas bien trop vite mangés.
Il fallait aussi apporter un disque et un couvre-chef : dernier Peaches et bonnet noir à la Eminem pour moi.
J’ai taché mon t-shirt gris-pâle avec du vin rouge, Gwen a essayé de le rattraper mais impossible.
Olivier m’a prêté un t-shirt noir.
Après j’ai taché mon pantalon neuf avec un peu de tout.
La prochaine fois je viendrai en maillot de bain…
J’ai un peu dansé, notamment avec Delphine.
Vers 5h00 du matin des gens jouaient de la harpe et du violoncelle, dans la deuxième pièce.
Particulièrement crispant après avoir bu 9 heures d’affilées.
Je me suis à brailler: « Stairway to heaven », que le harpiste s’est empressé d’exécuter !
Puis un accordéon s’est rajouté…
Je suis parti vers 6h00 du matin, avec la vraie version de : « Stairway to heaven » dans la tête.
Levé à 10h30 pour accueillir Julie Vadrot qui passait par Le Mans pour retourner sur Rennes.
On a discuté Wampas pendant que je lui copiais ma dernière cassette.
Elle est partie vers 15h00, je me suis rendormi aussi sec !
1 11 3
Nouvelle chanson : « Echarpe ».
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